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Face à un marché globalisé grandement concurrentiel, et poussées par les ruptures modernes, les entreprises françaises ont entamé leur mutation digitale. Avec 3 centaines de milliers de tpe en France et 30 millions de utilisateurs en ligne, le digital représente un superbe potentiel de développement et doit s’inscrire comme levier de performance, de compétitivité et de croissance. Le rapport Deloitte/Facebook s’intéresse au niveau de maturité digitale des sociétés françaises et présente les occasions offertes par l’économie numérique.
Mais dans les faits, comment cela se traduit-il ? Pour basculer une entreprise dans l’ère du digital, qu’elle soit en BtoB, BtoC, BtoBtoC, etc., il faut penser autrement son offre, développer sa créativité, pour imaginer une nouvelle proposition de valeur qui se rapporte aux codes numériques d’aujourd’hui. Il s’agit, par exemple, de faire améliorer son modèle économique, de le organiser en identifiant des nouvelles sources de revenu et de nouveaux canaux d’interaction client à utiliser. C’est ce qu’a La Redoute reprise en main par Nathalie Balla et Eric Courteille : ils ont totalement repensé le format économique qui était basé sur le gros catalogue et la VAD. C’est aussi ce qui a conduit Hammel, groupe de famille de quincaillerie et de robinetterie basé en Dordogne, à devenir Ayor, avec diversification des offres, démarrage d’une plateforme pour discuter avec les poseurs professionnels et récemment le démarrage d’un incubateur. Ou encore des clubs sportifs comme le Castres Olympique, club de rugby de Castres, qui a repensé son organisation pour à la fois améliorer les performances sportives de son équipe et aider ses ventes – donc les moyens financiers du club – avec la conception d’une boutique en ligne et d’une billetterie en ligne.
Equiper sa petites entreprises d'options digitaux de productivité pour faciliter les process quotidien. Gestion RH, productivité, finance, stockage de papiers, de très nombreux outils existent pour la gestion des tâches quotidiennes. A chaque problématique sa solution ! Soigner sa présence en ligne. Adapter sa présence afin de vous répondre à sa cible. Site internet, social medias, application : à chaque cible son ( es ) canal ( ux ) ! Vendre en ligne. l'assistance en ligne doit permettre de commercialiser les produits et services en ligne. Il est capital que la petites entreprises puisse gérer les commandes ou devis sur internet et y répondre. Proposer des services individualisés. Sur le base du Big Data, la petites entreprises est en mesure de recueillir des infos précises sur ses prospects et clients grâce à sa présence en ligne et elle peut les traiter avec les outils digitaux qu’elle a mis en place en interne. Après traitement, elle peut concevoir une offre d'éléments et services personnalisés, à l’instar d’un parcours client 100% personnalisé.
Le numérique contribue à la croissance des sociétés, pour plus de 77%, lorsqu’elles cèdent aux sirènes du web. Les sociétés qui ont franchi le cap du digital digital et, en particulier d’une stratégie omnicanale, en mesurent les bénéfices : 86% ont constaté une hausse des ventes et 78% une bonification de la satisfaction clients. Et, à l’horizon se profilent le Big Data et l’Intelligence artificielle. Comment les recevoir tranquillement et efficacement ? Une étude de KRS Research pour Microsoft sur ' leadership et IA ' indique qu’un président sur 2 souhaite être accompagné pour implémenter des solutions IA dans son entreprise. L’accompagnement des tpe et ETI dans leur numérique permet de : économiser du temps mais aussi de détenir vision extérieure et globale des missions digitaux de l’entreprise.
Les pme françaises sont en retard sur leur digitale par rapport à leurs voisins européens. Ce retard est particulièrement visible en terme d’adoption de solutions digitales par les petites entreprises, comme par exemple la présence sur Internet et sur les réseaux sociaux, la création de ventes en ligne ou l’utilisation d'options digitaux visant à améliorer la productivité. En 2015, deux pme françaises sur trois bénéficiaient d’un site internet, contre trois sur quatre environ dans l’UE, et environ une petites structures sur huit recevait des commandes en ligne pour un ca global de près de 60 milliards d'€, soit près de 3% du chiffre d’affaires total des pme françaises. Mais ce sont les plus petites tpe qui accusent un retard plus utile.
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