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La digitalisation de l’économie est une réalité inévitable. Et les grands groupes ne sont plus les seuls à devoir conformer leurs pratiques pour se reproduire. Face à cet enjeu majeur de compétitivité, les indépendants et les petites entreprises doivent eux aussi repenser leur model et accélérer leur transformation numérique. Un défi que trop de sociétés ont du mal à relever. A l’instar de leurs confrère français ou européens, les petites structures belges sont entrées dans l’ère du numérique. Mais si la plupart ont un site internet et sont connectées, bien peu sont engagées dans un vrai processus de digitalisation, qui leur permettrait de tirer complètement profit de ce superbe levier de performance et de croissance.
La transformation digitale est au cœur de la stratégie de tous les grands groupes, le « Chief Digital Officer » est la fonction la plus prisée maintenant mais aussi l’etat accélère sa transformation numérique. Mais qu’en est-il des pme ? Ont-elles les moyens d’entrer dans cette nouvelle ère du digital ? Et que peuvent-elles en attendre concrètement ? Une étude réalisée par BPIFrance il y a un an montrait que 73% des dirigeants de petites structures et ETI se disaient en retard dans la digitalisation de leur structure. Près des deux tiers n’avaient pas défini de tactique de certaine. Au final, l’entreprise est poussée par ses clients et ses partenaires, et même ses employés, à accélérer sa mutation technique pour vous rendre service à leurs nouveaux attitudes et créer de toutes nouvelles relations, répondant aux nouveaux usages.
À l’heure du travail à distance et des réflexes barrières, la digitale des petites structures est plus que jamais d’actualité avec la crise sanitaire. Voici un état des lieux de la question avec la dernière étude de Sortlist… Un chiffre retient l’attention : 22%. C’est le pourcentage de petites entreprises n’ayant pas de site web. Le chiffre impressionne encore plus si on le ramène aux 25 millions de petites structures présentes au sein de l’Union Européenne ( chiffre de 2018 ). À spécifier qu’il existe des disparités importantes à l’intérieur du territoire.
Conscientes de l’apport du web à leur réussite, les petites structures n’ont pas toujours les moyens de découvrir ces compétences en son sein. Elles recourent à alors à un prestataire ou à un chief web officer à temps partagé. Un investissement nécessaire pour leur croissance. Toutes les petites et moyennes sociétés françaises sont loin de posséder un outil informatique efficace et agile. Pourtant, selon le troisième baromètre Croissance
Face à globalisé fortement concurrentiel, et poussées par les ruptures technologiques, les sociétés françaises ont entamé leur mutation digitale. Avec 3 millions de petites structures en France et 30 centaines de milliers de testeurs en ligne, le digital représente un formidable potentiel de développement et doit s’inscrire comme levier de performance, de compétitivité et de croissance. Le rapport Deloitte/Facebook s’intéresse au niveau de maturité digitale des entreprises françaises et présente les possibilités promises par l’économie numérique. Cependant, l'absence de compétences techniques digitales, la méconnaissance des avantages potentiels de la en matière de dépenses ou l'absence de familiarisation aux outils digitaux disponibles sont autant de freins qu’il correspond de coucher pour accélérer la transformation digitale des petites structures françaises.
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