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une grande quantité de chefs de boites ne sont équipés pas d’une vision à 3 – 5 ans de sa transformation digitale. Le retard à l’échelle européenne et la place croissante du digital au sein de notre société, doivent résonner comme le signe d’alarme pour les petites structures et TPE françaises. Notamment dans le secteur du BtoB, qui traversent de grandes difficultés à digitaliser leur activité. En ce sens, aborder la digitalisation en commençant par améliorer son offre de commerce et son expérience client devrait permettre aux tpe de générer des profits rapidement après l’implémentation de la dimension stratégique de digitalisation. La capacité à commercialiser son offre en ligne est quelque choses à prioriser pour compléter la digitalisation de son entreprise.
La digitale est au cœur de la dimension stratégique de tous les grands groupes, le « Chief Digital Officer » est la fonction la plus prisée actuellement et même le gouvernement accélère sa numérique. Mais qu’en est-il des petites entreprises ? Ont-elles les moyens d’entrer dans cette nouvelle âge du web ? Et que peuvent-elles en attendre concrètement ? Une étude réalisée par BPIFrance il y a une année montrait que 73% des dirigeants de tpe et ETI se disaient en retard dans la digitalisation de leur structure. Près des deux tiers n’avaient pas défini de tactique de concise. Au terminal, la société est poussée par ses clients et ses partenaires, et même ses employés, à accélérer sa mutation technique pour vous rendre service à leurs nouveaux manières et mettre en place de nouvelles relations, répondant aux nouveaux emplois.
Les grandes sociétés, par l’intermédiaire de stratégies d’omnicanal, d’automatisations de tâches, ou aussi de constitutions d’écosystèmes numériques, ont dès à présent franchi le pas de la digitalisation. Pourquoi pas vous ? Dans un cadre concurrentiel sans frontières, aucune solution permettant d’accroître ses performances et d’être toujours plus proches/connectés de/à sa clientèle n’est réservée à une élite, à des happy few. Acquérir de nouveaux marchés, accélérer les process en place, devenir plus compétitif... Chaque société a ses buts. Les petites entreprises sont les forces vives de la croissance : elles sont plus de % de la population des entreprises, 60 à % des emplois et 55 % du PIB dans les pays pensés. Elles se doivent d’avoir des outils et des solutions à la taille de leurs ambitions et du lien qu’elles veulent tisser avec leurs clients, pour rentrer avec eux dans une nouvelle siècle, où le digital serait à l'écoute de l’humain.
Conscientes de l’apport du web à leur réussite, les petites structures n’ont pas toujours les moyens de mobiliser ces compétences en interne. Elles recourent à alors à un prestataire ou à un chief web officer à temps partagé. Un investissement indispensable pour leur croissance. Toutes les petites et moyennes entreprises françaises sont loin de posséder un outil informatique fiable et agile. Pourtant, selon le troisième baromètre Croissance
L’efficacité de la digitalisation des petites entreprises françaises n’est plus à démontrer : des analyse telles que celle réalisée par le CCI Paris Ile-de-France ( 2015 ) ont démontré que les entreprises les plus matures dans leur transformation numérique ont une croissance six fois plus importante que les sociétés les moins avancées. En effet, les entreprises ayant réalisée leur virage digital pouraient atteindre une cible plus étendue, car elles ne sont pas limitées géographiquement, contrairement à un commerce physique. D’ailleurs, selon l’observatoire du numérique, l’économie digitale est devenue le principal levier de productivité et de croissance dans l’économie globalisée. Sans oublier qu’une bonne tactique de digitale permet de récolter un grand nombre de données sur ses testeurs, et ainsi d’être en mesure de leur proposer une offre qui correspond parfaitement à leurs besoins, mais également de les fidéliser.
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