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une femme utilisera dans les environs 12 000 couvercle sur 40 ans de règles et en estimation 300 housses hygiéniques par an. Durant nos règles, on pourrait penser que l’on perd beaucoup de hémoglobine mais il s’avère que cela ne donne qu’entre quatre vingt et 85 ml de liquide et seulement 35 ml de sang ; l’équivalent d’une petite . Au cours de la vie cela génère quand même, en estimation, l’équivalent de notre poids ! Le couvercle est la garantie privilégiée par sept filles sur 10 en europe et en amérique.
Après le vacarme sur la composition des bâillon, l’avénement de la cup et des couvercle de la nature, on nous parle de plus en plus de la culotte menstruelle, dite aussi la pantalon de règles. Alors non, je vous arrête immédiatement, il ne s’agit pas de cette vieille culotte que vous ressortez à chaque cycle mais d’une forme de stimulant qui permet de se débarrasser plus pleinement de toutes les autres. La pantalon menstruelle, c’est une protection hygiénique réemployable et donc délébile. Elle promet d’absorber et d'empêcher toute fuite au cours de cette merveilleuse date des traditions. Son but est de remplacer totalement les protections habituels ou de les compléter. Elle s’utilise comme un par-dessous classique et peut être réaction durant une moyenne de de douze ans heures, en fonction de son flux évidemment.
Contrairement aux bâillon, la menstruelle respecte l’équilibre de la vaginale et n’absorbe pas les sécrétions. grâce à une plein air convenable, le risque d’infections, de mycoses et de perceptions de est donc amoindri. Et surtout, la constitution de la cup ne présente pas de risque pour la santé : un point important quand on sait que plusieurs analyses ont révélé la présence de prestations toxiques et cancérigènes dans les bâillon et serviettes hygiéniques. Des substance inquiétantes comme des reste d’aluminium et de dioxine, des alcools ou bien des pesticides…
Toutes nous promettent une solution phénomène : discrète, agréable, écologique, saine, et de manière sécurisée de coup drogues. Les slips de règles peuvent une sorte d’eldorado pour toutes les personnes menstruées inquiètes des problèmes liés protections intimes. Probabilité exceptionnel, mais réelle, de syndrome du entorse remède aux conséquences gravissimes, traces de débroussaillant et produits chimiques dans les bâillon et bissac, du plastique ( suspect d’être un perturbateur endocrinien et présent dans toutes les housses classiques ), sans oublier le tragédie écologique que représentent ces produits jetables...
Qui dit multi-usage dit obligatoirement nettoyage et épuration. a l'aide de les serviette et tampons, le geste est soudain et : une fois employé, vous jetez l'article et vous en avez achevé. Si vous optez pour la coupe menstruelle, il est capital de désencombrer le contenu du bac et de le nettoyer à l'eau. Vous pouvez de même le faire bouillir dans l'eau chaude lors de 3 à 5 minutes. Attention, le temps de épuration ne doit pas dépasser les 7 minutes, sous risque de vicier le gomme dans lequel est fabriquée toute coupe. L'objet pourrait de ce fait être difforme et dire des soucis lors du mise. Il pourrait aussi ne plus remplir au mieux sa spécialité de mariage et laisser aller du liquide. Aussi, il est essentiel de rester bien à deux pas de la cocotte pendant le temps de désinfection. Il faut donc admettre de prendre un peu sur son temps !
La menstruelle est un petit comportant en forme d’entonnoir qui se place dans le vulve pendant la période des coutumes afin de acueillir le hémoglobine. Présentée comme un outil jacobin, la cup est néanmoins loin d’être une fabrication récente ! On découvre en effet des marques d’un accessoire similaire aux États-Unis dans les années 1860. Le réservoir pour recueillir le sérum est ainsi lié à une bandage qui se met sous vêtements. Les premières coupes menstruelles sont commercialisées sur le monde dans les années 1930 et plusieurs mouvements sont mis à disposition des femmes.
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