Complément d'information à propos de en savoir plus ici
Pas une journée ne passe dans l’entreprise sans en entendre parler, sans aborder les matière “transformation numérique”, “innovation”, “startup”, “disruption”, “usage mobile”, “expérience utilisateur”. Autant de idées qui génèrent un questionnement permanent sur nos modes de travail et nos solutions d’innovation à l’ère du digital. Pour que les résultats soient bénéfiques, les partenaires doivent appréhender et offrir le sens de votre démarche de numérique. Plus ils seront négociateurs de cette et plus la vision sera partagée en interne, plus celle-là sera menée efficacement. Certes, la transformation digitale occupe les conversations, mais qu’en est-il des pratiques dans les petites structures ?
Mais dans les faits, comment cela se traduit-il ? Pour basculer une entreprise dans l’ère du digital, qu’elle soit en BtoB, BtoC, BtoBtoC, etc., il faut croire autrement son offre, croître sa créativité, pour imaginer une nouvelle proposition de valeur qui correspond aux codes numériques d’aujourd’hui. Il s’agit, par exemple, de faire évoluer son modèle économe, de le organiser en identifiant des toutes nouvelles sources de revenu et de nouveaux canaux d’interaction client à utiliser. C’est ce qu’a La Redoute reprise en main par Nathalie Balla et Eric Courteille : ils ont entièrement repensé le standard économe qui était basé sur le gros catalogue et la VAD. C’est aussi ce qui a conduit Hammel, groupe de famille de quincaillerie et de robinet basé en Dordogne, à devenir Ayor, avec diversification des offres, lancement d’une plateforme pour discuter avec les poseurs professionnels et récemment le démarrage d’un incubateur. Ou encore des clubs sportifs comme le Castres Olympique, club de rugby de Castres, qui a repensé son organisation pour à la fois améliorer les performances sportives de son équipe et soutenir ses ventes – donc les moyens financiers du club – avec la création d’une boutique en ligne et d’une billetterie en ligne.
À l’heure du travail à distance et des gestes barrières, la digitale des pme est plus que jamais d’actualité avec la crise sanitaire. Voici une étude complète de la question avec la dernière étude de Sortlist… Un chiffre retient l’attention : 22%. C’est le pourcentage de petites structures n’ayant pas de site. Le chiffre impressionne encore plus si on le ramène aux vingt cinq millions de petites structures présentes au sein de l’Union Européenne ( chiffre de 2018 ). À spécifier qu’il existe des disparités importantes à l’intérieur du territoire.
Si la digitalisation est un terme tendance, vous vous apercevrez vite que ce n’est pas une fin en soi et qu’il existe beaucoup d'autres étapes pour la réussir en toute sérénité et qualité. La question n’est plus la numérique, mais la transformation tout court comme le rappelle Juliette Jarry, Vice-Présidente de la région chargée du numérique. La vraie question est : comment est-ce qu’on intègre l’humain dans la transformation ? Au sommaire : précision sur les prix des enjeux et défis de la transformation digitale chez les petites structures et ETI à travers la vision des institutions, celles des fondateurs et des doctorants.
Les petites entreprises françaises sont en retard sur leur digitale par rapport à leurs voisins européens. Ce retard est particulièrement visible en terme d’adoption de solutions digitales par les petites entreprises, comme la présence sur Internet et sur les réseaux sociaux, la création de ventes en ligne ou l’utilisation d’outils digitaux visant à améliorer la productivité. En 2015, deux petites entreprises françaises sur trois bénéficiaient d’un site web, contre trois sur quatre généralement dans l’UE, et environ une tpe sur huit recevait des commandes en ligne pour un chiffre d’affaires global de près de 60 000 000 000 d’euros, soit près de 3% du chiffre d’affaires total des pme françaises. Mais ce sont les plus petites pme qui accusent un retard plus important.
Texte de référence à propos de en savoir plus ici
Comments