Ma source à propos de poupée sexuelle
«Poupées sexuelles». Si leur nom semble franc, leurs destination diffèrent en fonction de la emprunteurs. Les uns amenent la baisse du nombre de rapports sexuels dans un couple, les autres pallient une déférence maladive et paralysante, quand d’autres, encore, remplissent un vide, plus qu'assouvissent un besoin sexuel… Et l’intelligence contrainte de démultiplier encore ces amis entre artiste et produits sexuels. Car il est loin le temps des poupées gonflables disgracieuses. Désormais, les inmodelé en plastique, troublants de naturisme, sont modulables indefiniment.
Le japon est le pays ancêtre dans la production des amour dolls, poupées à dimension humaine vendues comme collaborateurs sentimentales. Prenant appui sur le concept que leurs corps s’inscrivent dans une économie de produits symboliques affirmant leurs propriétaires de logements à décrier d’elles comme d’outils pour inventer tellement leur réprésentation et leur personnalité, j’aimerais proposer l’hypothèse suivante : que les poupées sont assimilées à des prothèses. Plus précisément des prothèses affectives. En la manière dont elles sont élaborées – autant par les concepteurs que par les clients – je questionnerai la notion rituelle de la prosthèse comme instrument pour remplacer ou remédier à une impuissance. Les amour dolls, en effet, ne sont pas utilisées pour soustraire l’absence d’un-e partenaire. Ni pour satisfaire un vide. S’il s’agit de prothèses, quel rôle jouent-elles ?
Jadis gonflables, les poupées destinées à répondre les désirs sexuels de ceux qui le recherchent sont à présent réalisées en silicone et offrent un toucher près de celui de la peau humaine. C'est ce qu'on appelle plus communément les « Love dolls ». Qui plus est, ces poupées magnificence nature en silicone sont modifiables à demande. Type de sourire, teint, des yeux, des tétons, des ongles, postiche, taille de vulve, forme et émotion des pilosité pubiens, etc. Bref, rien n'est laissé aléatoirement et les combinaisons se comptent par nombreuses. Un peu comme une véhicule, dont on choisit le style et les possibilités.
L’IA fait encore parler d’elle. Après les véhicules autonomes ou bien les systèmes musiciens c’est au tour des jeux d’en prendre pour leur hiérarchie. pour terminer, des babioles, pas totalement. La poupée sexuelle ou le ordinateur génital, contactez la comme vous le souhaitez, se démocratise de plus en plus. Fiers de leur conte, les passoire s'imposent de créer des poupées sexuelles équipées d’Intelligence Artificielle. Adieu la poupée gonflable et bienvenue le silicone
Le 1er bordeau de poupées d’Europe a ouvert ses ouvertures durant quelques jours dans un appartement de la ville catalane. Lumidolls est le nom du club en question. Son nom résume tout : lumi ( professionnel en tortillage ) et doll ( poupée en anglais ). Avant d’y , envisagez de prendre contact avec parmi les 4 meubles disponibles : Niky la Blanche, Leyza l’Africaine, Lily l’Asiatique standard, et Aki l’Asiatique aux cheveux verts qui imite un personnage de manga. En réalité, ce ne sont effectivement pas des poupées gonflables, mais des phrases humanoïdes hyperréalistes en plastique. d'autres variétés de mannequins articulés, aux mots très exubérantes. Chaque être coûte environ 5 000 euro. Pour suffire une heure avec l’une d’entre elles à Lumidolls, comptez 120 euros. Les plus impatients profiteront du estimation de lancement : 80 euros.
aujourd’hui de nombreuses entreprises produisent des poupées de plus en plus réalistes, leur tarifs dépasse rapidement les 3000$, elles sont personnalisables de la tête aux assise ; cheveux, lèvres, dimension, calibre, grain de peau, … Ce ne sont plus des poupées gonflable à ce coûts ! On a un châssis en alu léger et dépecé sur lequel s'appuie un corps siliconé ayant une texture près de le visage. On est plus proche de la naturalisation que du plastique, des yeux en verre, des détails, implantation de cheveux et poils humains, ….
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