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un grand nombre de chefs d'organismes ne disposent pas d’une vision à 3 – 5 ans de sa transformation digitale. Le retard à l’échelle européenne et la place grandissante du digital au coeur de notre société, doivent résonner comme le signal d’alarme pour les tpe et TPE françaises. Notamment dans le secteur du BtoB, qui éprouvent de grandes difficultés à digitaliser leur activité. En ce sens, aborder la digitalisation en commençant par améliorer son offre commerciale et son expérience client devrait permettre aux petites entreprises de recevoir des profits rapidement après l’implémentation de l'approche stratégique de digitalisation. La capacité à commercialiser son offre en ligne est une chose à prioriser pour compléter la digitalisation de son entreprise.
Mais dans les faits, comment cela se traduit-il ? Pour basculer une entreprise dans l’ère du web, qu’elle soit en BtoB, BtoC, BtoBtoC, etc., il faut se mettre en tête autrement son offre, croître sa créativité, pour imaginer une nouvelle proposition de valeur qui se rapporte aux codes numériques d’aujourd’hui. Il s’agit, par exemple, de faire évoluer son modèle économique, de le structurer en identifiant des nouvelles sources de revenu et de nouveaux canaux d’interaction client à utiliser. C’est ce qu’a La Redoute reprise en main par Nathalie Balla et Eric Courteille : ils ont entièrement repensé le standard économique qui était basé sur le gros catalogue et la VAD. C’est aussi ce qui a conduit Hammel, groupe de famille de quincaillerie et de robinet basé en Dordogne, à devenir Ayor, avec diversification des offres, lancement d’une plateforme pour échanger avec les poseurs professionnels et récemment le déclanchement d’un incubateur. Ou encore des clubs sportifs comme le Castres Olympique, club de rugby de Castres, qui a repensé son organisation pour à la fois améliorer les performances sportives de son équipe et aider ses ventes – donc les moyens financiers du club – avec la conception d’une boutique en ligne et d’une billetterie en ligne.
Le numérique est partout en ce début d’année 2017. Vos partenaires sont déjà munis de téléphones mobiles, tablettes tactiles, notebook pour excercer et communiquer ? Il est temps de passer à la vitesse supérieure et d’intégrer le numérique à tous vos process. Pour renforcer leur compétitivité et assurer leur pérennité, les pme ne peuvent plus faire l’économie d’une digitale en profondeur. Mais comment bien discuter le virage ? Les petites entreprises françaises interrogées à ce propos pointent le manque de savoir-faire technique comme principal frein avant le coût. Et pour cause, si le coût est réel au départ, il sera vite amorti grâce au gain d’efficacité et de compétitivité généré par l'implémentation de ces nouveaux process. Le manque de savoir-faire, par contre, est plus difficile à saisir par les chefs de sociétés. Pourtant, avec un bon accompagnement et des cycles de formation, il est possible de lever ce frein et réussir sa transition digitale.
Si la digitalisation est un terme à la mode, vous vous apercevrez vite que ce n’est pas une fin en soi et qu’il existe bien d’autres phases pour la réussir en toute sérénité et qualité. La question n’est plus la transformation numérique, mais la tout court comme le rappelle Juliette Jarry, Vice-Présidente de la région chargée du numérique. La vraie question est : comment est-ce qu’on ajoute l’humain au sein de la transformation ? Au sommaire : tour d’horizon des enjeux et challenges de la transformation digitale chez les petites structures et ETI à travers la vision des institutions, celles des créateurs d'entreprise et des doctorants.
L’efficacité de la digitalisation des petites structures françaises n’est plus à démontrer : des analyse telles que celle faite par le CCI Paris Ile-de-France ( 2015 ) ont prouvé que les entreprises les plus matures dans leur transformation numérique ont une croissance six fois plus élevée que les sociétés les moins avancées. En effet, les sociétés ayant réalisée leur virage digital peuvent atteindre une cible plus étendue, car elles ne sont pas limitées géographiquement, contrairement à un commerce physique. D’ailleurs, selon l’observatoire du numérique, l’économie digitale est devenue le principal levier de productivité et de croissance dans l’économie globalisée. Sans oublier qu’une bonne tactique de digitale permet de récolter une multitude de données sur ses clients, et ainsi d’être en mesure de leur proposer une offre qui se rapporte parfaitement à leurs besoins, mais aussi de les fidéliser.
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